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Ce qui aurait pu rester un drame privé s’est mué en un véritable séisme médiatique et communautaire. L’affaire Marcelo Tunasi, pasteur influent à la tête de l’Église Compassion, rebondit avec des révélations qui ébranlent les certitudes et font naître les doutes. Au cœur de la tempête: le décès énigmatique de son épouse, Blanche Kandolo, surnommée « Maman Blanche », emportée à Istanbul dans des circonstances désormais contestées.
Des enregistrements qui dérangent
La famille de la défunte a dévoilé des éléments sonores où Blanche confie sa crainte de représailles si elle envisageait de quitter son mari. Des mots lourds de sens, enregistrés quelques semaines avant son départ pour la Turquie. Depuis leur diffusion, l'émotion est palpable, et l’opinion publique vacille entre sidération et colère.
Une mort sous surveillance ou sous silence?
Son frère affirme que Blanche était en bonne santé avant le voyage. Pourtant, c’est en Turquie qu’elle trouve la mort dans des conditions encore floues. Et ce n’est pas tout: le certificat de décès présenté à la famille serait, selon ses dires, un faux document, signé par un homme identifié comme un sans-abri… et non un médecin agréé.
La contre-attaque familiale
Face à ces accusations graves, la famille Kandolo ne reste pas muette. Elle a annoncé la création d’un collectif pour exiger une enquête indépendante, déterminée à faire éclater la vérité dans une affaire où le sacré semble avoir perdu sa transparence.
Une communauté sous le choc
Dans les rangs de la communauté chrétienne, l’affaire agit comme une bombe morale. Entre le silence pesant des autorités et les murmures persistants, nombreux sont ceux qui demandent des réponses claires. Car cette tragédie soulève non seulement la question de la vérité, mais aussi celle des abus cachés derrière des figures charismatiques.
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