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Au cours d’une conférence de presse sur une collision aérienne, ténu ce jeudi 30 janvier à Washington, la presse a demandé à Donald Trump s’il avait un plan pour ramener la paix en République Démocratique du Congo, où un conflit dans l’Est du pays implique le Rwanda, selon les autorités congolaise thèse confirmée par le rapport des experts des Nations Unies.
Le locataire de la Maison blanche a reconnu, que "c'est un problème grave". Mais au regard de l'objet de sa communication, il a rétorqué en ce terme: « Vous me posez une question sur le Rwanda, et c'est un problème très grave, j'en conviens, mais je ne pense pas qu'il soit approprié d'en parler maintenant. Mais c'est un problème très grave ».
Entre temps, le Nord-Kivu reste entre les mains des rebelles du M23 soutenues par le Rwanda et la population est pris au piège. Le Président de la République démocratique du Congo a dénoncé lors de son adresse à la nation le mercredi 29 janvier, une entreprise prédatrice d’une avidité inassouvie, opposant une rhétorique sans équivoque à l’inertie internationale, fustigeant le mutisme complice des puissances extérieures face à cette spoliation systématique.
ROGER AMANI
Ce problème est complexe. Il nécessite les dirigeants dignes de ce nom.
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