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À l’intersection de l’avenue de la Révolution et de la Route du Golf, non loin du centre-ville de Lubumbashi, un marché informel expose des animaux sauvages vivants dans des conditions alarmantes.
Chiens, perroquets, tortues et autres espèces dont certaines protégées sont entassés dans des cages exiguës, soumis à la chaleur, au stress et à la malnutrition, sous le regard impuissant des passants.
L’avocat Me Parfait Katayi Kazadi, membre du barreau du Haut-Katanga, a dénoncé cette situation sur Top Congo, la qualifiant de violation flagrante des lois locales et internationales. Il pointe du doigt un commerce illégal, renforcé par une impunité totale qui permet à ces pratiques de prospérer.
Un appel à l’action immédiate
Bien que la vente et le commerce d’animaux sauvages soient interdits en RDC, aucune mesure sérieuse n’a encore été prise. Face à cette réalité, Me Parfait Katayi exhorte les autorités à :
Au-delà de l’urgence locale, il rappelle que la protection de la biodiversité est désormais une priorité mondiale, et appelle à une prise de conscience collective pour mettre un terme à ces pratiques destructrices.
La balle est désormais dans le camp des autorités et des défenseurs de l’environnement, qui doivent agir avant que la situation ne devienne irréversible.
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