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Ce lundi 11 août, la Cour de cassation de la République démocratique du Congo a ouvert le procès en révision de Moussa Mondo, ancien ministre des Hydrocarbures, condamné à 20 ans de prison pour le meurtre de son épouse.
Au cours de cette première audience, la haute juridiction a exigé à la défense de produire de nouveaux éléments de preuve en faveur de l’innocence de leur client. Cette décision marque un tournant crucial dans le processus judiciaire, relançant l’espoir de réexamen du dossier.
La suite du procès dépendra donc de la capacité des avocats à présenter des faits nouveaux susceptibles d’influencer le verdict initial.
Isaac Ngoy Somwe
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