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Il était resté en retrait, observant le chaos ambiant du football congolais. Mais voilà que Constant Omari, ancien patron de la FECOFA, renaît de ses cendres et frappe là où ça fait mal.
Face à la décision du Tribunal arbitral du sport (TAS) d’ordonner la reprise de la phase retour des play-offs de Ligue 1, Omari ne se contente pas de commenter: il propose une sortie de crise… et elle ne manque pas de piquant.
“Si c’était moi, je convoquerais tous les clubs et la LINAFOOT. Soit on relance le championnat, soit on déclare une année blanche. Mais il faut un compromis inclusif, pas exclusif.”
Une proposition choc: l’année blanche
Dans un paysage footballistique rongé par les querelles, les suspensions et les décisions contradictoires, Omari jette un pavé dans la mare: déclarer une année blanche. Une solution radicale, mais selon lui, la seule capable d’éviter un effondrement institutionnel. Reconduire les mêmes équipes pour les interclubs? Une mesure pragmatique, dit-il, si les clubs s’accordent.
La FECOFA sous pression
La Fédération est désormais prise en étau: obéir au TAS ou imploser sous les tensions internes. Le spectre d’un championnat paralysé hante les couloirs de la LINAFOOT, tandis que les clubs s’enlisent dans l’incertitude. Dans ce contexte, la voix d’Omari, longtemps décriée mais toujours influente, résonne comme un appel à la raison… ou à la rupture.
Omari, stratège ou provocateur?
Certains y verront un retour calculé, d’autres une tentative sincère de sauver les meubles. Mais une chose est sûre: le football congolais est à la croisée des chemins, et Omari, fidèle à son style, refuse de rester spectateur. Dialogue ou clash? La balle est dans le camp de la FECOFA.
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