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Le coup est brutal, la claque inattendue: Donald Trump frappe la RDC là où ça fait mal au portefeuille. Alors que les deux nations entretenaient un partenariat minier stratégique, l’administration américaine décide unilatéralement de hausser les droits de douane à 15 %, contre les 11 % initialement annoncés.
Une décision signée ce 1er août, qui vient torpiller le pacte économique tissé entre Kinshasa et Washington.
De la coopération à la sanction
Longtemps présentée comme un alliée privilégiée, la RDC bénéficiait d’une forte implication des entreprises américaines dans l’extraction de ressources dans l’Est et le Sud-Ouest. Mais voilà que la Maison-Blanche change de ton, et aligne désormais Kinshasa aux pays “taxés” sans distinction.
L’Afrique en alerte, la RDC en turbulence
La RDC n’est pas seule à encaisser le choc. À partir du 7 août, 22 pays africains verront leurs exportations vers les États-Unis alourdies par ces nouvelles taxes. Une décision unilatérale, jugée comme un tournant rude et cynique dans la diplomatie économique américaine.
Ce durcissement tarifaire sonne comme un revers pour le continent, qui espérait encore bénéficier de leviers commerciaux pour accélérer son développement industriel. Pour Kinshasa, c’est aussi un signal d’alarme sur la volatilité des alliances stratégiques, surtout quand celles-ci reposent sur des deals fragiles et des promesses incertaines.
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